Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 17:24

édition spéciale Zaza

 

JEUDI 07 AVRIL


commentaires de notre lecture "mourir de dire, la honte" de Boris CYRULNIK.

 

supervisions : Véronique, Sandrine,

 

jeux de rôle avec Anne Thérapeute,

 

supervision : Iris.

 

VENDREDI 08 AVRIL

 

Supervision : Dominique,

 

jeu de rôle avec Fanny Thérapeute puis Anne-Marie Cothérapeute

 

Supervision : Nadira.

 

jeu de rôle avec petit exercice sur les tableaux de rêve.

Partager cet article
Repost0
27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 21:22

Jeudi 10 mars :

 

Florence a souhaité céder sa place de "Déléguée de classe".

Déroulement des élections à mains levées pour les 20 personnes présentes sur 21 :

Leyla (déléguée suppléante) est élue "Déléguée" : 18 votes pour, 2 abstentions ;

Laetizia est élue "Déléguée suppléante". : 19 vote pour, 1 abstention.

Anne-Marie et Christian en bons assesseurs ont veillé au bon déroulement .

 

  Tour de table concernant le précédent séminaire avec Mony ELKAïM.

 

  jeudi 27 et vendredi 28 septembre 2012 : colloque avec entre autre Giorgio NARDONE, et oui Madame Corinne!!!

  jeudi 7 et vendredi 8 juin 2012 : Mony ELKAïM

  le colloque du jeudi 13 et vendredi 14 octobre 2011 est annulé

         et reporté au jeudi 17 et vendredi 18 novembre  2011.

 

  Supervisions d'Isabelle DESPUJOLS et Florence DE BOIREDON

 

Vendredi 11 mars :

 

  Guide d'évaluation des compétences parentales : link

  Echelle Alarme Détresse Bébé : link  (Antoine GUEDENEY)

 

  Supervisions Sandrine, Isabelle D., Nadira.

 

Voilà encore 2 journées riches en émotions, évènements et rebondissements.

_        _        _        _         _        _         _         _         _         _        _         _        _        _        _         _         _         _        _         _

 

Florence B n'arrête pas de faire des merveilles, puisqu'elle en avait apportées lors de ce regroupement, et qu'elle a depuis négocier le fait que nous puissions faire la fête le soir à l'institut de La Teste. Ce jeudi 9 et vedredi 10 juin nous aurons Jean-Yves PRIGENT comme intervenant. (reste à négocier : les barbecues pour faire griller les sardines ; l'hébergement pour ceux qui auront trop picolé et ne pourront reprendre le volant ; le détachant pour nettoyer le vomi sur la moquette).

 

Rappel : pour Jeudi7 et vendredi 8 avril, lecture : "Mourir de dire : la honte" de Boris CYRULNIK.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2011 6 08 /01 /janvier /2011 18:22

JEUDI  06  JANVIER

 

Myriam prétextant que son réveil avait oublié de changer d'année, était en fait en train de finir de lire  "Introduction à la complexité humaine" d'Edgar Morin. Myriam arrive donc à 9h30 et nous trouve en train de fêter comme il se doit la nouvelle année : galette des rois et cidre (merci Florence B. et vive la Reine Florence D.B.), chocolats (merci Sandrine). Les absents, ne vous inquiétez pas nous avons pensé à vous... en mangeant et buvant votre part.

 

Présentation du groupe, d'Iris et de Didier qui nous rejoigne pour cette ultime année.

 

Echanges sur le réel plaisir pour tous de se retrouver dans un espace où se vivent des expériences, des émotions, des partages aussi précieux qu' uniques ; ce qui sera encore le cas durant ces deux journées.

 

Tentative de visionnage du film "les aventures d'Edgar". Mais après le bug du réveil, c'est le bug du lecteur D.V.D. Décidément la technologie n'est pas avec nous en ce début d'année !

 

Fiche de lecture "Introduction à la pensée complexe"


"Nous demandons légitimement à la pensée qu'elle dissipe les brouillard et les obscurités, qu'elle mette de l'ordre et de la clarté dans le réel, qu'elle révèle les lois qui  le gouvernent. le mot complexité, lui, ne peut qu'exprimer notre embarras, notre confusion, notre incapacité de définir de façon simple, de nommer de façon claire, de mettre de l'ordre dans nos idées."

L'avant-propos d'Edgar Morin nous plonge d'emblée dans le vif du sujet. Il explique ensuite que "La complexité ne saurait être quelque chose qui se définirait de façon simple et prendrait la place de la simplicité. La complexité est un mot problème et non un mot solution."  Page 46, il ajoute " L'idée de complexité est beaucoup plus répandue dans le vocabulaire courant que dans le vocabulaire scientifique ". Effectivement : Pourquoi passe-t-on souvent des nuits blanches lorsqu'on a des idées noires ? Pourquoi appel-t-on coup de grâce le coup qui tue ? Pourquoi lorsqu'on veut de l'argent devant soi, faut-il en mettre de côté ? Pourquoi remercie-t-on un employer lorsqu'on est pas content de ses services ? Pourquoi lorsque quelqu'un n'a même plus de quoi se coucher dit-on qu'il est dans de beaux draps ? Pourquoi parle-t-on des quatre coins de la terre alors qu'elle est ronde ? Pourquoi dit-on quand un homme se meurt qu'il s'éteint et lorsqu'il est mort on l'appelle "feu"...? Pourquoi un bruit transpire-t-il avant d'avoir couru ? Pourquoi lave-t-on une injure et essuie-t-on un affront ? Pourquoi lorsque vous dites à quelqu'un "je ne partage pas votre avis" peut-il répondre "les avis sont partagés" ?

Conclusion : après la lecture du livre d'Edgar Morin, comment allons nous faire pour dormir sur nos deux oreilles ??

 

Supervision et jeu de rôle.

 

VENDREDI  07  JANVIER

 

Références : Site de la Fédération française de Psychologie : http://www.ff2p.fr/

auteur : Philippe Brenot.

Citation : "Être psychothérapeute, c'est accepter avant toute chose de ne pas l'être" Mony Elkaïm.

 

Supervision et Jeu de rôle, avec plusieurs demandes pour une thérapie de couple.

 

       Toujours être attentif à la communication analogique 

 

1

 

 

Quelques indications données par Myriam :
1 Accueil
2 Quel est la demande de chacun ?
3 Tant que l'attente de chacun n'est pas verbalisée, on ne peut pas commencer à travailler.
Les patients font toujours vivre au Thérapeute ce qu'ils se sont fait vivre eux-même.
Il ne faut pas faire revivre à son patient une relation d'emprise, être "violent" ou le mettre dans une position d'insécurité (c'est-à-dire dans une position où le Patient peut avoir peur).
Ce qui est Thérapeutique, ce n'est pas ce qui est dit, mais ce qui est vécu émotionnellement, dans l'instant.
Prochaine lecture pour le jeudi 03 et vendredi 04 février :
"Voulons nous des enfants barbares" de Maurice Berger.
Partager cet article
Repost0
23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 17:29

Formation 21 et 22 octobre 2010

 

jeudi 21 octobre :

 

"prendre soi des autres : enjeux actuels et dimensions professionnnelles"

 

la première idée de titre de Myriam était : "Prendre soi de soi..." Effectivement si je prends soin des autres, qui prend soin de moi ?  et si la réponse est moi-même, est-ce que je prends le temps de le faire ?

 

  1ère intervention : Gilles LIPOVETSKY nous propose une promenade historique "individualisme et qualité de vie dans la société hypermoderne". dès le 18ème l'individu est placé au centre de la société qui se pense comme société de progrès. Même si l'individu est reconnu en tant que tel, il doit savoir s'effacer devant la technique, la science, le savoir, "l'intérêt supérieur".

          Progressivement, la thématique du progrès va céder le pas à la problématique de la "qualité de vie". Apparaissent les questions sur les méfaits du progrès. On commence à penser que le progrès devient quelque chose qui se paye cher? le futur devient menaçant, on se recentre alors sur la quête du bonheur et de la qualité de vie. Il y a effondrement de certaines visions utopistes fondées sur la suprématie de la modernité et du progrès.

          Il y a à présent une aspiration à un mieux être avec une exigence de la prise en compte de la personne. plus rien maintenant n'échappe au registre de la qualité de vie. parallèlement à cette aspiration, il y a une monté d'un nouvel individualisme avec 4 grands traits :

- 1) le culte hédoniste : se manifeste pour toute la société, dans son ensemble, au travers de la société d'hyperconsommation. Lors des 30 glorieuses, le bien être s'est imposé comme une exigence individuelle. Puis on passe d'un confort quantitatif à un confort qualitatif. Il y a monté d'exigence par rapport à la qualité de vie en même temps qu'apparait le phénomène du "low cost".

- 2) le culte du corp : la qualité de vie s'exprime aussi au travers de la démocratisation des pratiques sportives, de la chirurgie esthétique, etc.

- 3) le cult Psy : privilégier l'épanouissement de l'enfant, jusqu'à en arriver à la situation d'enfant roi, mais situation qui s'éloigne alors du principe de réalité. Avant il y avait le prêtre, maintenant il y a le Psy. Il existe plus de 400 sortes de thérapies dans le monde. L'individu  veut non seulement jouir de la vie, mais aussi être entendu, compris, dans sa subjectivité et ce jusque dans le monde du travail. Il y a une demande de plus en plus affirmée de reconnaissance.

- 4) culte de l'autonomie individuelle : exigence généralisée : on ne veut plus être dirigé par l'extérieur, par des normes collectives extérieures. Il y a demande d'une vie "à la carte" que qualifie cette démarche dans "l'individualisme hypermoderne". Chacun fait son marcher dans le dogme religieux et les individus ne se convertissent plus par force comme autrefois, mais par choix personnel. Il y a moins de mariages, plus de divorces et de plus en plus tôt. C'est le modèle de l'autonomie, de l'hyper-choix.

 

          Et les paradoxes s'enchaînent : plus il y a d'individualisme, plus il y a de thérapie / plus il y a autonomisation, plus il y a de vulnérabilité avec fragilisation de la personnalité / plus l'individualisme se développe, plus il y a de mouvements associatifs / plus on favorise la qualité de vie, plus s'affirme une société de performance.

 

Conclusion : Nous sommes donc condamnés à vivre dans des sociétés où la performance va être de plus en plus une exigence. Performance qui va se conjuguer avec la nécessité de trouver un équilibre individuel, un mieux être qui puisse justement être au service de cette exigence de performance.

 

Gilles LIPOVETSKY : Philosophe, Sociologue, auteur de "Le bonheur paradoxal", "Les temps hypermodernes", "Le crépuscule du devoir"...

  2ème intervention : David LEBRETON : la douleur a toujours un sens. La douleur est 100% physique et 100% psychique. La douleur implique toujours une souffrance altérant notre relation au monde. La souffrance, c'est ce que l'homme fait de sa douleur. La signification modifie l'intensité de la douleur jusqu'à la rendre supportable, jusqu'à la provoquer soi-même parfois (scarifications = se faire mal pour avoir moins mal / se faire mal à son corps pour avoir moins mal à sa vie). C'est alors cette signification, ce "bouclier de sens" qui permet de mettre à distance la souffrance.
          Chaque soignant, chaque personne a un pouvoir d'antalgie sur son patient ou sur l'autre avec la capacité pour chacun de mettre en lumière ce qui peut devenir un bouclier de sens chez l'autre.
David LEBRETON : Professeur à l'université de Strasbourg, Membre de l'Institut Universitaire de France et Chercheur au Laboratoire Cultures et Société en Europe. Anthropologue et Sociologue Français, Auteur de "Anthropologie de la douleur", "La saveur du monde", "Expériences de la douleur".
3ème intervention : Myriam CASSEN : "les conditions d'exercice du soin : prévenir le burn-out"; définitions = bougie qui s'éteint ; lampe grillée ; personne qui a éteint sa flamme ou s'est vidé de l'intérieur ; etc.
          le processus est lent et progressif, l'utilisation répétée de mécanismes adaptatifs face au stress au travail épuise peu à peu l'individu qui trouve de moins en moins de ressources personnelles pour se restaurer.
          Il n'y a pas de causalité directe concernant le burn-out, mais une rencontre entre un contexte professionnel et des facteurs de personnalité.
          "Notre passé nous fragilise mais ne nous condamne pas" : Mony ELKAÏM.
Il y a 3 versants du "burn-out" qui peuvent être mesurés par un test qui comprend 22 questions : le M.B.I. = Maslach Burn-out Inventory. lien pour passer le test : http://www.masef.com/scores/buroutsyndromeechellembi.htm
          Une des qualités utilisable dans le processus relationnel sera bien sûr l'empathie. La conséquence de notre empathie étant la capacité que nous avons à imaginer les besoins psychiques de l'autre.
          L'empathie :
-  condition du soin pour qu'il soit thérapeutique ;
-  condition de l'alliance thérapeutique ;
-  condition pour le développement des ressources et des compétences du patient ;
-  condition de l'estime de soi par rapport à l'éthique personnelle.
SOLUTIONS à L'EPUISEMENT PROFESSIONNEL :
-  clarté des attentes et des rôles ;
-  temps commun d'analyse des situations ;
-  vigilance à l'égard des pratiques isolées ;
-  développement d'une culture commune : exigences dans la relation au patient, dans la prise en considération des 
   collègues (si le collègue dysfonctionne, se poser la question pourquoi il est amené à dysfonctionner ?) ;
-  développement du sentiment d'appartenance.
Mesures curative du "burn-out" :
-  débriefing ;
-  interventions extérieures ;
-  prise en charge individuelle ;
-  groupe de parole.
Mesures individuelles :
-  gestion du stress ;
-  gestion du temps ;
-  diminution des tâches multiples simultanées (multi-tasking) ;
-  amélioration de la communication et des capacités à parler des problèmes ;
- développement de l'autonomie et de la créativité.

et bien sûr face à   L'URGENCE    RALENTIR
4ème intervention : Pr. Patrice COUZIGOU : "Soigner ou traiter". Professeur de médecine en Hépato-Gastroentérologie à Bordeaux.
          Il décrit les dérives de l'hyperspécialisation qui amène à la fragmentation des soins, ce qui induit une difficulté de cohésion et de cohérence. C'est alors

Vendredi 22 octobre :
5ème intervention : Pr. Michel LE MOAL : ""Psy"... entre Culture et Nature"
6ème intervention : Pr. Maurice BERGER : "le soin en institution des enfants très violents"
7ème intervention : Frédéric LA BELLE : "pratique de prévention / prévention pratique : qui soigne les soignants ?"
8ème intervention : Pr. Guy AUSLOOS : "Miser sur la compétence pour arriver à la "déprise en charge""
Partager cet article
Repost0
8 mai 2010 6 08 /05 /mai /2010 14:40

Jeudi 6 mai : Corinne MERRY

Etude de "l'invention de la réalité" sous la direction de Paul Watzlawick.

Corinne : "c'est l'utilisation de beaucoup de métaphores pour faire une immense recadrage.

Laetizia : "c'est génial"

17 autres : entre les deux

Dominic : "c'est chiant, j'ai failli vomir"

 

Bibliographie : "Pico Bogue" chez Dargaud

Filmographie : "Eternal sunshine of the spotless mind" de Michel Gondry (infos ici, location web ici)

 

3 supervisions avec quelques petites phrases à retenir :

- toute construction a la même "valeur" qu'une autre construction. (seul contre exemple : les 3 maisons des 3 petits cochons).

- La construction du monde aide l'être humain dans sa quête de stabilité. (mais alors dans quel état j'erre?)

- Les construction du monde ne se combattent pas par l'argumentation donc la rationalité dans le constructivisme n'est d'aucune utilité, (Dominic, t'avais qu'à pas éternuer!), il n'y a que le recadrage qui fonctionnera.

- l'expérience est la seule façon de pouvoir valider l'efficience d'unevision du monde. (et toc !).

- Quand on cherche la fonction de quelque chose, il faut aller voir ce que cela a provoqué.

 

Comme chaque regroupement depuis quelques temps, nous remercions Anne-Marie pour les bonbons

 
Vendredi 7 mai: Myriam CASSEN
Jeu de rôle et 3 supervisions avec travail scolaire sur :
- Construction du monde
- Programme officiel
- Comment passer du contenu à la relation
Bibliographie: "le crépuscule d'une idole" de Michel ONFRAY
Bibliographie : "Mort des enfants et structure familiale" d'odile Bourguignon
Filmographie : "l'éternuement" de Dominic Atchoum.
La blague du jour est offerte à Isabelle Tauzin:
Pourquoi les vacances en Irlande sont-elles particulièrement toniques?
Réponse : parce qu'un peu d'Eire, ça fait Dublin !


 

E

Partager cet article
Repost0
17 avril 2010 6 17 /04 /avril /2010 11:20

Salut à tous et surtout aux absents,

Comme je viens de l'apprendre lors de notre dernier regroupement (1er jour avec Corinne Merry) étant dans l'urgence, je freine, ce qui explique que je me suis dépêché de prendre le temps de faire ce bulletin (à co-compléter).

Anne : ci-joint synthèse du rapport de l'INSERM envoyé par Leyla.

Leyla : pourras-tu me faire un résumé de la synthèse du rapport, merci d'avance.

Isabelle : peux-tu STP me donner l'adresse de ton fournisseur de « Burundanga » ; merci d'avance.

Isabelle : quitte à passer pour une rougne, tout est fini entre nous, c'est légitime, non ? je me suis quand même fait queuté par Myriam après tout !

Isabelle : pour ne pas faire de jalouse je te souhaite une bonne fin de semaine.

Flo et  Krikri : Merci pour le documentaire F5.

Thierry : Bon courage  pour ton mémoire d'addictologie… mais

d'addictologie en quoi ? d'ailleurs je m'inquiète pour toi,  j'ai remarqué une bizarrerie en faisant un agrandissement de ta main sur une de tes photos !

Serait-ce une déformation professionnelle ???

Laetizia : définition de « manipuler » : prendre par la main (attention si c'est la main de Thierry !).

Nadira : prochaine lecture pour le 06 et 07 mai : « l'invention de la réalité » de notre ami Watzlawick.

Karima : c'est pas bien de faire l'école buissonnière !, pour te rendre service, d'un commun accord, nous t'avons prescrit une tâche (ça ne s'invente pas !) : présenter notre prochaine lecture.

Anne : si toi aussi tu te mets à faire des blagues pourries comme Dominique, on est pas sorti de l'auberge !

Pascale : effectivement on te boude, comme tu faisais parti des jaunes, on attend la réunification pour te parler à nouveau ! (bises quand même).

Synthèse :

Formation du 25 et 26 mars :

super-hyper-méga vision avec Mony où sont passés entre autre notre excelllllllllente Isabelle et notre non moins Brillant (non pas Dany) Domi.

Formation du 08 et 09 avril :

Jeudi 08 avril : (avec Corinne Merry) étude du « manger beaucoup, à la folie, pas du tout de Nardone ; quelques outils clés de la thérapie brève + supervisions.

Vendredi 09 avril : (avec Myriam Cassen) Myriam nous fait une prédiction qui ne se réalisera pas, je cite : - «on va faire light pour le reste de la journée ! » ; supervisions.

Bref, des journées encore bien riches pleines d'humanité, d'enseignements et d'émotions.

Pour Philippe : si tu n'as pas encore accès au blog concernant les définitions à co-construire :

Nouvelles expressions lexicales systémiques : « constructivisme » ; « clientélisation » ; « manipuler » ; « gérer l'urgence » ; « passer pour une rougne » ; « se faire queuter » ; « blague pourrie » ; « une journée light » ; "pour dimanche faire du poulet cru!"

Bisaplus

Christian

Partager cet article
Repost0